04042009
Incroyable ! Insensé ! Inconscient ! Et surtout n'importe quoi !
La loi Hadopi à été finalement voté en France !
La loi Hadopi, qu'est-ce que c'est?
Alors la France est touché à son tours par on ne sait qui ? Quel Loby ?
Mais l'état français me fait un peu de la peine tout de même :
Mais c’est sur le dispositif même de répression que la Cnil pourrait avoir le dernier mot. De fait, la loi prévoit qu'après avoir repéré un « présumé pirate », l’HADOPI lui adressera un avertissement par courrier électronique via son FAI puis, un second avertissement par lettre recommandée en cas de récidive constatée. Enfin, si dans l’année les agissements se renouvellent, elle pourra ordonner la suspension de l’accès à Internet pendant un an maximum. « Même si cela n’est pas officiel, il est clair qu’on passe hors des salles d’audience, ce qui dans un État de droit comme la France est un aveu cinglant d’échec d’une politique répressive démesurée. La seconde réflexion est encore plus lapidaire » commente l'avocat Olivier Iteanu, interrogé par La Tribune. En d'autres termes: la loi Hadopi serait anticonstitutionnelle (fichier PDF)…
Vous devez comprendre un truc dans tout ça !
La Nouvelle-Zélande était à ce jour le seul autre pays à part la France où devait être votée une loi aussi stupide que la « riposte graduée » voulue par N. Sarkozy, défendue par C. Albanel dans la loi HADOPI...
La nouvelle Zélande ensuite la France et Who's next (qui les prochains?) ?
C'est encore l'internaute qui paye !
L'état français est autoriser à nous espionner et légalement alors ?
La loi Hadopi à été finalement voté en France !
La loi Hadopi, qu'est-ce que c'est?
Alors la France est touché à son tours par on ne sait qui ? Quel Loby ?
Mais l'état français me fait un peu de la peine tout de même :
Mais c’est sur le dispositif même de répression que la Cnil pourrait avoir le dernier mot. De fait, la loi prévoit qu'après avoir repéré un « présumé pirate », l’HADOPI lui adressera un avertissement par courrier électronique via son FAI puis, un second avertissement par lettre recommandée en cas de récidive constatée. Enfin, si dans l’année les agissements se renouvellent, elle pourra ordonner la suspension de l’accès à Internet pendant un an maximum. « Même si cela n’est pas officiel, il est clair qu’on passe hors des salles d’audience, ce qui dans un État de droit comme la France est un aveu cinglant d’échec d’une politique répressive démesurée. La seconde réflexion est encore plus lapidaire » commente l'avocat Olivier Iteanu, interrogé par La Tribune. En d'autres termes: la loi Hadopi serait anticonstitutionnelle (fichier PDF)…
Vous devez comprendre un truc dans tout ça !
La Nouvelle-Zélande était à ce jour le seul autre pays à part la France où devait être votée une loi aussi stupide que la « riposte graduée » voulue par N. Sarkozy, défendue par C. Albanel dans la loi HADOPI...
La nouvelle Zélande ensuite la France et Who's next (qui les prochains?) ?
C'est encore l'internaute qui paye !
L'état français est autoriser à nous espionner et légalement alors ?
Dernière édition par espion3004 le Dim 5 Avr - 7:15, édité 1 fois
Commentaires
Sam 4 Avr - 18:30
En un mot: ridicule.
Ils ne réfléchissent pas 2 secondes aux répercussions, c'est juste une "excuse" pour espionner l'utilisateur, l'internaute dans ses téléchargements!
Encore heureux, je suis en Belgique.
@+.
Ils ne réfléchissent pas 2 secondes aux répercussions, c'est juste une "excuse" pour espionner l'utilisateur, l'internaute dans ses téléchargements!
Encore heureux, je suis en Belgique.
@+.
Dim 5 Avr - 7:14
Oui, comme tu le dit Laurent tu es en Belgique, d'autres au Maroc, Viet-nam, Chine, etc etc...
Ou cette loi n'est pas applicable, mais un jour qui sait ? Cette loi tend à se propager comme un ver informatique.
Moi j'aurai tapé des mains si ce même État avait déployé autant d'efforts et d'énergies contre le : cyber terrorisme ou les pédo-porno ! Les arnaques Hoax ! Les phishing etc etc !!!
Ou cette loi n'est pas applicable, mais un jour qui sait ? Cette loi tend à se propager comme un ver informatique.
Moi j'aurai tapé des mains si ce même État avait déployé autant d'efforts et d'énergies contre le : cyber terrorisme ou les pédo-porno ! Les arnaques Hoax ! Les phishing etc etc !!!
Dim 5 Avr - 8:26
Il exixte des solutions pour naviguer anonymement sur la toile dont une pour le navigateur firefox :télécharger le bundle vidalia qui se charge de tout: www:clubic.com/telecharger-fiche281296-vidalia-bundle.html
Dim 5 Avr - 13:55
je ne pense pas que la chose soit aussi simple que ça CURRIMA...
Dim 5 Avr - 20:25
Exact,mais sauf erreur de ma part cette loi est contraire à une directive européenne demandant de favoriser l'accès à internet;j'ai lu quelque part qu'on allait demander des comptes à la France si la loi était votée car la coupure d'accès n'est pas conforme à cette directive!
Mer 13 Mai - 20:55
La France et Hadopi !
La CNIL fête son 30e anniversaire. Pour l’occasion, elle a publié un
rapport retraçant l’activité annuelle de cette autorité indépendante
chargée de protéger les droits et libertés dans l’univers des fichiers.
A l’occasion, elle revient sur l’histoire de la Hadopi, pour remettre
une nouvelle couche de critiques contre le texte et la manière dont fut
orchestré le contrôle de la CNIL par le gouvernement.
On se souvient quel l’avant-projet de loi Hadopi lui fut notifié au
printemps 2008. Il avait ensuite fui dans la presse. D’abord dans nos colonnes en mai 2008
où nous avions eu les premières informations sur cet avis (critique)
puis à la Tribune qui diffusa l’intégralité de l‘avis en question en novembre 2008.
Sans la presse, jamais la ministre de la Culture n’aurait sorti un tel
texte tout simplement parce que la loi autorise ce secret, au grand
bonheur du gouvernement.
Toutefois, on trouvera dans le dossier annuel, une interview d’Emmanuel de Givry (p.20) portant justement sur cet épisode. À la question « N’est-il pas gênant de rendre un avis qui peut, selon le souhait du gouvernement, ne jamais être connu ? », l’intéressé répond : « Cette
situation est très clairement insatisfaisante ; c’est la raison pour
laquelle une proposition de modification de la loi est évoquée dans la
conclusion de ce rapport. En effet, la CNIL n’a pas été en mesure de
s’exprimer sur le texte soumis au débat parlementaire puisqu’elle s’est
trouvée dans l’impossibilité de s’appuyer sur sa délibération pour
étayer son argumentation. Une telle situation génère donc
incompréhension et approximation car nombre d’intervenants se référent
à ce qu’ils pensent être l’avis de la CNIL sans en disposer réellement ».
Les critiques ne s’arrêtent pas là : « En outre, dans le cas du projet de loi HADOPI, le fonctionnement de ce mécanisme aboutit à une situation incohérente puisque l’avis a été rendu sur un texte qui a, entre temps, beaucoup évolué,
notamment grâce aux observations formulées par la CNIL. Par exemple,
dans l’avant-projet, l’HADOPI pouvait demander aux fournisseurs d’accès
de filtrer les contenus, ce qui présentait un risque d’atteinte à la
liberté d’expression, que la CNIL avait souligné. Or, dans le nouveau
texte soumis aux assemblées, il est désormais prévu que seule
l’autorité judiciaire peut ordonner aux fournisseurs d’accès de
procéder au filtrage des contenus ». Le texte parlementaire issu
du vote du Sénat et de l’Assemblée marque donc une avancée. Qui est
illico torpillée à la question suivante :
« Même s’il ne vous est toujours pas possible
d’entrer dans le détail de l’avis, pouvez-vous indiquer la nature des
réserves émises par la Commission ?
Tout d’abord, il convient de relever que le texte a profondément
évolué entre le projet de loi soumis à la CNIL et celui discuté par le
Sénat, puis par l’Assemblée nationale. Cette précision étant donnée, il
est possible d’indiquer que les observations de la CNIL portaient
notamment, sur la possibilité d’imposer une phase préalable
d’information des internautes avant l’adoption d’une sanction. De même,
la Commission s’est interrogée sur l’effectivité du processus de
«déjudiciarisation» et le rôle des Sociétés de Perception et de
Répartition des Droits d’auteur (SPRD). Ces organismes, qui effectuent
la surveillance des réseaux, pourront discrétionnairement faire le
choix de saisir le juge pénal ou l’HADOPI. Enfin, la fiabilité des
dispositifs techniques destinés à garantir la sécurité des connexions
n’est pas acquise ».
Toutes ces critiques ont été déroulées par les parlementaires opposés
au texte, peu rassasiés par les réponses de Christine Albanel et de son
fidèle Franck Riester, rapporteur. La CNIL avait simplement évoqué des "avancées" lors des débats, notamment après la première lecture au Sénat, mais rien plus..
Dans ce rapport annuel, la CNIL tempère ses aigreurs, sans évoquer l’analyse du juge constitutionnel : « Notons
toutefois que la CNIL devra être saisie pour avis du décret
d’application relatif aux modalités de mise en œuvre par l’HADOPI des
traitements de données personnelles des internautes faisant l’objet de
mesures de suspension. Elle exercera son contrôle sur l’ensemble de ces
traitements, conformément à ses missions. »
source : PC Inpact.com
Des commentaires ?
La CNIL fête son 30e anniversaire. Pour l’occasion, elle a publié un
rapport retraçant l’activité annuelle de cette autorité indépendante
chargée de protéger les droits et libertés dans l’univers des fichiers.
A l’occasion, elle revient sur l’histoire de la Hadopi, pour remettre
une nouvelle couche de critiques contre le texte et la manière dont fut
orchestré le contrôle de la CNIL par le gouvernement.
On se souvient quel l’avant-projet de loi Hadopi lui fut notifié au
printemps 2008. Il avait ensuite fui dans la presse. D’abord dans nos colonnes en mai 2008
où nous avions eu les premières informations sur cet avis (critique)
puis à la Tribune qui diffusa l’intégralité de l‘avis en question en novembre 2008.
Sans la presse, jamais la ministre de la Culture n’aurait sorti un tel
texte tout simplement parce que la loi autorise ce secret, au grand
bonheur du gouvernement.
Toutefois, on trouvera dans le dossier annuel, une interview d’Emmanuel de Givry (p.20) portant justement sur cet épisode. À la question « N’est-il pas gênant de rendre un avis qui peut, selon le souhait du gouvernement, ne jamais être connu ? », l’intéressé répond : « Cette
situation est très clairement insatisfaisante ; c’est la raison pour
laquelle une proposition de modification de la loi est évoquée dans la
conclusion de ce rapport. En effet, la CNIL n’a pas été en mesure de
s’exprimer sur le texte soumis au débat parlementaire puisqu’elle s’est
trouvée dans l’impossibilité de s’appuyer sur sa délibération pour
étayer son argumentation. Une telle situation génère donc
incompréhension et approximation car nombre d’intervenants se référent
à ce qu’ils pensent être l’avis de la CNIL sans en disposer réellement ».
Les critiques ne s’arrêtent pas là : « En outre, dans le cas du projet de loi HADOPI, le fonctionnement de ce mécanisme aboutit à une situation incohérente puisque l’avis a été rendu sur un texte qui a, entre temps, beaucoup évolué,
notamment grâce aux observations formulées par la CNIL. Par exemple,
dans l’avant-projet, l’HADOPI pouvait demander aux fournisseurs d’accès
de filtrer les contenus, ce qui présentait un risque d’atteinte à la
liberté d’expression, que la CNIL avait souligné. Or, dans le nouveau
texte soumis aux assemblées, il est désormais prévu que seule
l’autorité judiciaire peut ordonner aux fournisseurs d’accès de
procéder au filtrage des contenus ». Le texte parlementaire issu
du vote du Sénat et de l’Assemblée marque donc une avancée. Qui est
illico torpillée à la question suivante :
« Même s’il ne vous est toujours pas possible
d’entrer dans le détail de l’avis, pouvez-vous indiquer la nature des
réserves émises par la Commission ?
Tout d’abord, il convient de relever que le texte a profondément
évolué entre le projet de loi soumis à la CNIL et celui discuté par le
Sénat, puis par l’Assemblée nationale. Cette précision étant donnée, il
est possible d’indiquer que les observations de la CNIL portaient
notamment, sur la possibilité d’imposer une phase préalable
d’information des internautes avant l’adoption d’une sanction. De même,
la Commission s’est interrogée sur l’effectivité du processus de
«déjudiciarisation» et le rôle des Sociétés de Perception et de
Répartition des Droits d’auteur (SPRD). Ces organismes, qui effectuent
la surveillance des réseaux, pourront discrétionnairement faire le
choix de saisir le juge pénal ou l’HADOPI. Enfin, la fiabilité des
dispositifs techniques destinés à garantir la sécurité des connexions
n’est pas acquise ».
Toutes ces critiques ont été déroulées par les parlementaires opposés
au texte, peu rassasiés par les réponses de Christine Albanel et de son
fidèle Franck Riester, rapporteur. La CNIL avait simplement évoqué des "avancées" lors des débats, notamment après la première lecture au Sénat, mais rien plus..
Dans ce rapport annuel, la CNIL tempère ses aigreurs, sans évoquer l’analyse du juge constitutionnel : « Notons
toutefois que la CNIL devra être saisie pour avis du décret
d’application relatif aux modalités de mise en œuvre par l’HADOPI des
traitements de données personnelles des internautes faisant l’objet de
mesures de suspension. Elle exercera son contrôle sur l’ensemble de ces
traitements, conformément à ses missions. »
source : PC Inpact.com
Des commentaires ?
Jeu 14 Mai - 16:13
pffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
on installe le mouchard officiel dans vmware car il est très très recommandé de l'installer..............................
et on fait ce que l'on fait d'habitude avec notre pc
la loi s'applique en 2011
autant dire qu'il y a un gouffre entre la loi votée et son application quand on calcule en temps internet
bref et encore une fois c'est du foutage de g................... et un beau débat médiatique qui ne sert strictement à rien
encore une fois, cette opinion ne regarde que moi
ps : les outils pour contourner le troyen officiel existe déjà
on installe le mouchard officiel dans vmware car il est très très recommandé de l'installer..............................
et on fait ce que l'on fait d'habitude avec notre pc
la loi s'applique en 2011
autant dire qu'il y a un gouffre entre la loi votée et son application quand on calcule en temps internet
bref et encore une fois c'est du foutage de g................... et un beau débat médiatique qui ne sert strictement à rien
encore une fois, cette opinion ne regarde que moi
ps : les outils pour contourner le troyen officiel existe déjà
Ven 15 Mai - 0:28
Salut coyote, je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il existe des moyens pour contourner cette décision !
Car qui n'a jamais téléchargé un film, me jette une pierre...
Mais surfant, les astuces changer IP ou emule crypté, ou création de machines virtuelles...
Sont dors et déjà des plans grillés !!!! C'est mal connaitre le réseau et protocole TCP Explication sur ccm.net
Les FAI enregistrent les logs des connexions.
Mais c'est un boulot trop monstrueux !!! Ils ont déjà du mal à nous tenir informer des changements, des mises à jours, des plaintes contres les spam, ou arnaques Hoax, ou d'intrusion, voir d'usurpation via email...
Alors qu'il n'arrivent même pas à lutter efficacement contre le cyber-crime !?
Qu'ils demandent aux bénévoles de les aider contre la lutte anti-pédophile !!!
Qu'il n'arrivent pas ou dés foi oui, (mais grâce à l'aide de bon hacker) a lutter contre des menaces terroristes !!!!
Enfin bref ! Ça me fait marrer.
L'état Français imagine qu'il n'y avait que les Français qui téléchargeaient de la musique, des films français...
Alors que c'est mondial !
Il n'y a pas qu'en France ! Qu'on parlent et comprends le français bordel !
C'est pour vous dire à quel point, qu'ils ne connaissent strictementrien à rien du web...
Car qui n'a jamais téléchargé un film, me jette une pierre...
Mais surfant, les astuces changer IP ou emule crypté, ou création de machines virtuelles...
Sont dors et déjà des plans grillés !!!! C'est mal connaitre le réseau et protocole TCP Explication sur ccm.net
Les FAI enregistrent les logs des connexions.
Mais c'est un boulot trop monstrueux !!! Ils ont déjà du mal à nous tenir informer des changements, des mises à jours, des plaintes contres les spam, ou arnaques Hoax, ou d'intrusion, voir d'usurpation via email...
Alors qu'il n'arrivent même pas à lutter efficacement contre le cyber-crime !?
Qu'ils demandent aux bénévoles de les aider contre la lutte anti-pédophile !!!
Qu'il n'arrivent pas ou dés foi oui, (mais grâce à l'aide de bon hacker) a lutter contre des menaces terroristes !!!!
Enfin bref ! Ça me fait marrer.
L'état Français imagine qu'il n'y avait que les Français qui téléchargeaient de la musique, des films français...
Alors que c'est mondial !
Il n'y a pas qu'en France ! Qu'on parlent et comprends le français bordel !
C'est pour vous dire à quel point, qu'ils ne connaissent strictement
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
on se demande pourquoi la france s'obstine, elle qui à chaque fois prône "l'européanisme"???
enfin bon..............
qui plus est, les outils et les moyens pour "piéger" les terroristes du téléchargement sont déjà obsolètes.................
bref.........
encore une fois, c'est du foutage de gueule (mais cette opinion ne regarde que moi)